Quand Moïse Mbiye et Mike Kalambay racontent leurs échecs [exclusif]

Pour faire les choses de manière  »pygmantée » lors de son concert, celui qu’on appelle la réserve de l’Éternel a tenu à interpréter sa chanson  »ngolu na yo » en duo avec Mike Kalambay.
Le titre  »ngolu na yo » chante les œuvres de la grâce dans la vie d’un homme qui a connu du mépris à ses débuts mais qui finit par connaître du succès à cause de la grâce de Dieu dans sa vie.
Introduisant Mike Kalambay sur l’estrade de son concert, le pasteur Moïse Mbiye lui demande : « est-ce qu’il t’est déjà aussi arrivé dans la vie, d’entreprendre quelque chose qui ne marche pas ? »
 »Plusieurs fois » avait répondu le pasteur Mike Kalambay.
Et de poursuivre :
 »je me rappelle une fois, c’était dans la ville de Matadi dans la salle Ledya.
Ce jour-là, c’était terrible. Le concert devait commencer à 18h parce que c’était VIP. Mais nous avons dû commencer à 22 h, tout simplement parce qu’il n’y avait personne dans la salle. La salle pouvait contenir près de 400 personnes mais nous n’étions qu’une cinquantaine de personnes. Mais malgré cela, une parole montait dans mon cœur :  »quoi qu’il arrive, Ça finira par marcher » a-t-il témoigné.
Pour sa part, le pasteur MoÏse Mbiye a aussi partagé son témoignage en ces mots :
 »Moi, j’ai eu à jouer un concert au grand hôtel, (pullman hôtel), dans une salle de 500 personnes. il n’y a eu que 100 personnes mais je croyais toujours que Ça allait marcher »

Aujourd’hui, Moïse Mbiye et Mike Kalambayi sont parmi les artistes musiciens les plus en vue dans les milieux chrétiens.
Leurs deux chaines YouTube officielles combinées représentent en ce jour plus de 202 millions de vues et un total de 538.400 abonnés.

Un message pour vous :

Connaissez-vous des temps difficiles dans ce que vous faites comme activité ? Vous a-t-on fermé des portes ? Voilà deux exemples de persévérance pour vous : Moïse Mbiye et Mike Kalambay. Que vos échecs ne vous poussent pas à abandonner car le salaire de tout abandon inopportun c’est le regret. En abandonnant, vous risquez plus tard de vous livrer à des questionnements du genre :  »Et si j’avais tenu bon ? »  »Et si je ne m’étais pas relâché ? » alors que d’autres personnes seront entrain de siéger à votre place.
Vos efforts ne resteront pas sans récompense. Gardez le cap !