Terrible incident autour de l’avion de Félix Tshisekedi à Kinshasa, la SNEL pointée du doigt‎

Un incident jugé grave s’est produit dans la nuit du samedi au dimanche à l’aéroport international de Ndjili, lors de l’atterrissage de l’avion présidentiel ramenant à Kinshasa le Chef de l’État, Félix Tshisekedi.‎‎

L’appareil, un Boeing 737 BBJ Simon Kimbangu, a connu un retard d’approche de 11 minutes en raison d’une coupure d’électricité. Cette panne a retardé l’activation du groupe électrogène, perturbant la communication entre le cockpit et la tour de contrôle, selon les informations relayées par Enjeux Africains.‎‎

Très vite, les regards se sont tournés vers la Société nationale d’électricité (SNEL), accusée de ne pas avoir assuré la fourniture stable en énergie à l’aéroport de Ndjili. Ce dysfonctionnement a relancé le débat sur la fiabilité du réseau électrique national, déjà critiqué pour ses coupures intempestives affectant aussi bien les ménages que les infrastructures stratégiques.‎‎

Bien que la sécurité du Président Tshisekedi n’ait jamais été menacée, l’incident soulève des inquiétudes quant à la gestion des installations vitales du pays. Plusieurs sources indiquent que des interpellations ont déjà eu lieu au sein du personnel concerné, tandis qu’une enquête serait en cours pour déterminer les responsabilités précises.

Cet épisode, qualifié de « terrible incident » par certains observateurs, met une fois de plus en lumière la nécessité pour la SNEL de garantir un service fiable, notamment dans les zones sensibles où la sécurité nationale est directement engagée.‎

✍️MINGAMEDIA.NET

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